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"L'humain, le burlesque et le sacré : Jean, Alfred et Ange"
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"Je me sentais vulnérable et sans défense, et la peinture était pour moi comme un bâton d’aveugle. Une façon de rester debout"
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"Les notes de Simone Weil me fichaient alors une secousse, des couleurs donc, des traits, des moyens très simples, minces même, des à plats cernés. La richesse, la vraie, intense dedans..."
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"la peinture, les peintures, toujours cette plaque noire, symbole et témoignage d’un attachement mortel cassé en deux , la guerre, que je tente de ressouder dans la limpidité, la chaleur du possible"
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"Des phrases de poètes, de philosophes, également de peintres qui me touchent ou bien qui dansent somptueusement autour de moi. Et parce que j’aime entendre les gens chanter, quand je les entends chanter, j’ai envie de me mettre à danser..."
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"Nous ne sommes jamais sûrs de rien. Ceux qui vont vite - les croyants universels - ont une certitude et un alibi. Si je ne peignais pas, je ne saurais pas quoi foutre..."
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"Je ne joue pas à l’avant-garde, si ce n’est malgré moi. La grande question de notre temps, ce n’est pas la modernité mais bien la séduction"
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"Il y a toujours une part d'artifice"
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"Les cause qui nous passionnent, nous passionnent par le genre de vie qu'il faut mener pour les défendre. Et puis, nous avons tous notre cinema et nous l'aimons bien"
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"La peinture, c'est ma danseuse à moi"
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"Au départ, on croit que c'est loupé. On ne l'accepte pas. Ensuite la chose peut se situer sur un autre terrain et devenir possible"
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"Si on fait des choses moches, autour de soi quelque chose se désagrège. Je le sais"
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"La beauté, c'est ce qui tient debout. Une rédemption aussi"
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"Pardon, Pardon..."
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"Ce n'est pas parce que une poignée de vieilles femmes me disent mort que je le suis déjà"
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